Un projet pour mieux gérer le stress hydrique du pois de printemps

Le projet de recherche ARECOVER a étudié le système racinaire de différentes variétés de pois de printemps. Les résultats montrent combien certaines variétés résistent mieux aux stress hydriques que d’autres, pour des raisons génétiques. Des données qui comptent, quand on sait la sensibilité du pois de printemps aux déficits hydriques.
Sur la plateforme « 4PMI » d’INRAE-Dijon, les plants de pois de printemps sont cultivés en Rhyzotubes pour étudier leur système racinaire.
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