Accident de la Patrouille de France : un pilote sauvé par un tas de blé

L’impressionnante collision entre deux avions de la Patrouille de France n’a heureusement pas fait de blessés grave. Perspectives Agricoles a appris que l’un des deux pilotes aurait pu présenter des blessures bien plus sérieuses s’il n’avait pas fini sa chute ... dans un tas de blé. 
L'accident d'Aplhajet a eu lieu près de Saint-Dizier lors d'une répétition de la Patrouille de France.

C’est ce qu’on appelle se faire un tas de blé, au sens propre du terme. Mardi 25 mars 2025, deux Alphajets de la Patrouille de France entraient en collision au cours d’une répétition, près de la BA113 de Saint-Dizier (52). Les deux pilotes ainsi qu’un passager ont heureusement eu le temps de s’éjecter avant que les avions ne s’écrasent au sol. D’après la Préfète de la Haute-Marne, aucune urgence vitale n’est signalée ; et les trois militaires sont actuellement en convalescence

Le blé a amorti le choc

La situation aurait pu être bien pire sans la présence d’un tas de quatre tonnes de blé environ à proximité de la zone de l’accident, a-t-on appris hier. « Un atterrissage en parachute après s’être éjecté en urgence n’est pas un exercice facile. Compte tenu de l’angle avec lequel le pilote a rencontré le sol, les blessures auraient pu être bien plus sérieuses sans le tas de blé pour amortir le choc », confirme Jean-Marc Avril, médecin urgentiste à l’Hôpital de Saint-Dizier. Malgré le stress, le pilote expérimenté a su faire preuve d’un réel sang-froid et évaluer les options les plus sécurisantes pour rejoindre la terre ferme.    

Zelensky demande un état des lieux des blés ukrainiens non marchands  

L’histoire ne s’arrête pas là. Car le lendemain, le Président Volodymyr Zelensky, en visite à Paris pour le Sommet sur la paix et la sécurité pour l'Ukraine, a eu vent de ce récit. D’après des sources anonymes proches d’Emmanuel Macron, le chef de l’État Ukrainien aurait demandé au commandant en chef de ses armées de « dresser un état des lieux des stocks de grains non marchands pour une possible utilisation dans le cadre d’une stratégie de défense militaire ». Ce à quoi Vladimir Poutine aurait réagi en formulant exactement la même demande au ministre de la Défense russe.  À moins que le poisson [d‘avril] ne soit trop gros pour mordre à l’hameçon ?

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