Agrivoltaïsme et biodiversité font bon ménage

L'opérateur TSE a signé une convention de partenariat de recherche avec le Muséum d'Histoire Naturelle. Objectif : mieux prendre en compte la biodiversité dans les projets conduits par l'entreprise.
Les informations collectées serviront à sélectionner les futurs projets de l’entreprise.

TSE, opérateur français de photovoltaïsme et d’agrivoltaïsme, a signé une convention de collaboration de recherche et d’expertise avec le Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN).

D’une durée de trois ans, cette convention vise à renforcer la prise en compte de la biodiversité dans les actions de TSE sur l’ensemble de la chaîne des métiers, tout en contribuant à la collecte de données scientifiques. Les informations scientifiques et naturalistes complémentaires collectées serviront notamment à mettre au point un outil d’aide à la décision pour la sélection foncière des futurs projets de l’entreprise.

L’impact des projets sur la biodiversité sera mesuré, dans l’optique de réduire celui-ci dès la phase conception et via une gestion écologique des sites. Les travaux seront animés par la direction « Biodiversité » de TSE et l’unité Patrinat pour le MNHN. « Nous avons fait de la biodiversité un point-clef du développement de nos projets. » souligne Mathieu Debonnet, président de TSE. « L’entreprise se réjouit de ce partenariat avec un acteur scientifique majeur de la biodiversité, qui lui permettra de renforcer encore plus son ambition écologique. »

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