Le sorgho, la solution pour s’adapter au changement climatique ?

Le sorgho est souvent présenté comme une alternative au maïs, plus économe en eau, et conservant une productivité indépendamment des périodes de sècheresse. Une revue de la bibliographie éclaire sur les spécificités du sorgho vis-à-vis de de l’utilisation de l’eau.
En dessous d’une consommation de 400 à 450 mm d’eau, le sorgho sera plus efficient que le maïs.
Cet article est réservé aux abonnés
Pour accéder à la totalité de cet article, vous devez avoir un abonnement valide à Perspectives Agricoles.
Si vous êtes déjà abonné, connectez-vous à votre compte. Sinon, choisissez une formule d'abonnement pour pouvoir lire tous nos articles.

6 commentaires

Réagissez !

Merci de vous connecter pour commenter cet article.

  • @Remy, je vous rejoins totalement. C'est en effet une de nos pistes de travail. Nous souhaitons tester différentes variétés / précocités de maïs ainsi que différentes variétés/précocités de sorgho sous les abris mobiles d'Ouzouer le Marché (Phénofield) afin d'étudier plus finement la différence espèce/variété. Si tout va bien, les résultats devraient être dans PA en fin d'année prochaine :)
    Sophie Gendre

  • @Philippe, désolée pour la simplification concernant les différences des plantes C3/C4, tu as en effet raison.
    Pour la partie "redécouverte", nous connaissions bien ces références mais nous avons aujourd'hui fait le choix de réaliser une synthèse de l'ensemble de ces résultats. Quant à la différence de réponse à l'eau maïs /sorgho, nous avons communiqué plusieurs fois, notamment sur nos essais à Gaillac et à Etoile dans les années 2010 ;).
    Pour la dernière partie de ton commentaire, en effet tous les agriculteurs n'irriguent pas à l'ETM je te rejoins, d'où notamment nos travaux autour de l'irrigation en volume limité.
    Au plaisir de discuter de tout ça avec toi!
    Sophie Gendre

  • @Philippe, merci pour la figure, il manque en effet la consommation de la plante sur le schéma, on corrige ça au plus vite !

  • Il serait interressant de voir de nouveaux essais avec des variétés récentes.
    Certaines sont en effet reconnues pour valoriser beaucoup mieux les apports d'eau restreints.
    A relier aussi, avec les techniques de semis précoces en maïs, avec variétés adaptées, afin de valoriser au mieux les pluies printanières. Cela me semble un argument interressant en faveur du maïs par rapport au sorgho, dont les semis nécessitent une température du sol plus élevée que pour le maïs.

  • Dans la figure1, je pense qu’il manque les départs d’eau dus à l’ETR ?

Se connecter
Ou connectez-vous avec
Pas encore inscrit ?
Créer un compte
Vérification
Saisissez d’abord votre adresse email pour vous connecter ou créer un compte
Ou connectez-vous avec
Mot de passe oublié

Pour réinitialiser votre mot de passe, vérifiez votre adresse mail ci-dessous, cliquez sur Envoyer et suivez les instructions qui vous seront envoyées par mail.