Panzani fait valoir les atouts de durabilité des pâtes

Les pâtes font partie des rares aliments auxquels on n’a pas grand-chose à reprocher : elles ne souffrent d’aucun interdit culturel ou religieux, les cuisiner est à la portée de toutes et tous, elles sont bon marché… Et tout le monde aime ça. « Les pâtes sont généralement cuisinées avec des légumes ou des protéines. Ainsi, un plat de pâtes apporte tous les éléments nutritionnels recommandés pour être en bonne santé », analyse Jean-Michel Lecerf, médecin nutritionniste. Le nec plus ultra est même de les consommer en salade : l’index glycémique des pâtes froides est plus bas que celui des pâtes chaudes.

Les ¾ des combinaisons sont classées Nutriscore A ou B

Des propos que vient confirmer une étude menée par le bureau d’étude MS-Nutrition et l’agence Linkup pour le compte de Panzani. « Les pâtes à la semoule de blé dur ont un Nutriscore A », se réjouit Albert Mathieu, PDG de Panzani. Comme personne ne mange des pâtes seules, l’étude s’intéresse à la qualité nutritionnelles de 24 combinaisons de pâtes (classiques et semi-complètes) associées à des sauces ( Provençale, bolognaise, carbonara, pesto, etc.) « Plus des trois quarts des combinaisons ont un Nutriscore A ou B, et aucune n’est classée D ou E », poursuit Albert Mathieu.

Une empreinte environnementale améliorée par rapport à un steak-frite

Le score PEF ( Product Environnemental Foodprint) , qui évalue l’empreinte environnementale des aliments, a aussi fait l’objet d’une analyse sur ces 24 combinaisons. « Une assiette de 100 g de pâtes à la bolognaise avec 20g de parmesan a un impact environnemental quatre fois inférieur à un steak de 100 g accompagné de 150 g de frites. C’est même 8 fois inférieur lorsqu’il s’agit de bolo veggie », commente Albert Mathieu. L’étude affirme que l’apport protéique est similaire, autour de 22 g, « soit 1/3 des apports journaliers recommandés ».